LES ONDES PARADISIAQUES D’UN MAÎTRE DE L’ÉMOTION EN QUINTET
PREMIÈRE PARTIE : ETIBAR ASADLI TRIO
À la suite d’une tournée de deux ans exclusivement en solo, le pianiste star de la scène jazz internationale Yaron Herman retrouve la joie intense du groupe pour son nouvel album « Radio Paradise » à paraître en avril 2025. Une musique partagée, accueillante où chaque membre de cette nouvelle formation œuvre à la création de l’émotion collective.
Et Yaron Herman a su parfaitement s’entourer dans ce nouveau chapitre. À la batterie, son alter ego de très longue date et batteur hors pair Ziv Ravitz ; à la contrebasse, Haggaï Cohen Milo, repéré avec Omer Klein et China Moses ; à l’avant-scène deux grandes saxophonistes ténor : Maria Grand, nouvelle sensation venue de Suisse et adoubée outre-Atlantique ainsi qu’Alexandra Grimal, figure emblématique des musiques improvisées.
En résulte une musique en recherche perpétuelle d’élégance et de pertinence, lyrique, et d’une sincérité totale. Le son du quintet est fluide, puissant et solennel. Les mélodies subtiles et ornements nouveaux y côtoient les rythmiques rauques et profondes.
Dans ce nouveau projet, Yaron Herman recrée musicalement une passerelle nouvelle entre les scènes américaines et européennes et nous rappelle tout ce qui nous anime dans le jazz, son écriture, son improvisation collective, ses singularités et sa volonté constante de magnifier la musicalité elle-même.
Au cœur de ce joyau architectural boisé qu’est le grand amphithéâtre de la Maison de l’Océan, Yaron Herman, que le publie du festival a plusieurs fois ovationné, revient vous enchanter de son « paradis » musical.
Yaron Herman : piano / Maria Grand : saxophone ténor / Alexandra Grimal : saxophone ténor / Haggaï Cohen Milo : contrebasse / Ziv Ravitz : batterie
Nouvel album « Radio Paradise », sortie prévue en avril 2025 chez naïve records
La presse en parle :
Yaron Herman est de ces artistes qui ont besoin de se mettre au défi. Il lui faut la prise de risque totale, le saut de l’ange. Télérama
Yaron Herman aime déplacer les frontières, chercher ce qui relie, vivre plusieurs vies. Le Monde
Du début à la fin du concert je suis, comme tout le public présent, captivé par l’intensité de la musique, des solos comme de la dynamique générale du groupe. Beau moment d’une musique dont l’intelligence formelle n’assourdit pas la flamme : au contraire ! Xavier Prevost, Jazz Magazine